Le CCT avait dit dès le départ que le 7 octobre 2018 serait une mascarade électorale organisée par Paul Biya pour se légitimer au pouvoir pour 7 autres années.

Les pleurs sortent déja de partout qu'il y'a eu des fraudes massives. Est-ce nouveau ou surprenant? Et le gouvernement Biya a refusé les observateurs étrangers!!! Reste aux votants de défendre leurs votes eux-mêmes.

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Nous avons dit que participer à cette élection n'aurait de sens que si les votants mécontents utilisent les fraudes du régime Biya comme raison pour descendre dans la rue, défendre leurs votes et renverser le régime Biya s'il persiste dans la repression armée.

Mais Maurice Kamto dit qu'il ne peut appeler personne à descendre dans la rue, parce qu'il va gagner par les «voies légales».

Il sait très bien que les décisions du conseil constitutionnel sont sans appel, et qu'Atangana Clément ne peut pas le déclarer gagnant.

Kamto cherche à finir comme Jean Ping du Gabon, après avoir éventuellement sacrifié quelques militants. Est-ce celà que cherche aussi sa meute aussi virulente des réseaux sociaux???

Cabral Libii a appelé ses militants à sortir défendre leurs votes «par la force», avant de dire ce soir qu'il utilisera les «moyens légaux», c'est-à-dire tomber lui aussi contre le mur infranchissable du conseil constitutionnel.

Cabral Libii laisse cependant le dernier espoir d'entrer dans l'histoire comme celui qui aura mené le peuple francophone camerounais à suivre l'exemple du peuple Burkinabè, en le libérant du dictateur Paul Biya, l'ennemi le plus dangereux du peuple camerounais.

Les anglophones, qui ont massivement boycotté cette mascarade, nous rappellent également que leur solution de la rue est la seule qui puisse vaincre le tyran sanguinaire Paul Biya et ses «élites» génocidaires. Car il faut affronter les abeilles pour pouvoir cueillir le miel d'un Cameroun nouveau, prospère, de paix et de stabilité.

Les regards des francophones camerounais sont tournés vers Cabral Libii, et éventuellement aussi Joshua Osih.

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C'est maintenant qu'il faut former la véritable coalition, celle de la libération du Cameroun des mains du régime francafricain et sanguinaire de Paul Biya